Cette note  analyse les réponses des lycéens à propos de pratiques destinées à améliorer leurs performances à l'occasion d'activités sportives mais aussi dans le contexte de la préparation d'examens. L’utilisation de substances afin d’améliorer les performances sportives concerne un lycéen sur quinze (7 %). Le dopage sportif stricto sensu, soit l’utilisation de substances prescrites ou illicites, est bien moindre et ne concerne qu’un lycéen sur cinquante (2 %). Dans ces deux cas, il s’agit de comportements masculins, alors que le recours, plus fréquent, à des substances afin de lutter contre stress et la fatigue s’avère être une conduite plus féminine. Enfin, un lycéen sur six (16 %) déclare avoir pris au cours des 12 derniers mois un produit dans le cadre de la préparation d’un examen. Cette pratique est plus souvent déclarée par les filles.

Stanislas Spilka, Eric Janssen, OFDT, note n°2018-02, juin 2018, 7 p.

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