Dans le cadre du lancement de sa chaine Youtube, le RESPADD propose une série de vidéos avec le Pr. Bertrand Dautzenberg. Au sommaire :
- Les fumeurs sont-ils protégés du Covid
- Quel est le lien entre la nicotine et le Covid
- Est-il utile de se procurer des patchs même si l'on n'est pas fumeur ?
- Peut-on transmettre le Covid en vapotant ?
- La consommation de tabac aggrave-t-telle les symptômes de la maladie ?
- Quels conseils donneriez-vous aux fumeurs durant cette période de confineent ?
- Comment faire son masque ?

RESPADD, 29 avril 2020

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Cette première session inaugure une série de conférences en ligne dont l'objectif est d'interroger les adaptations mises en place par les intervenants sociaux au cours de la période de confinement liée au Covid19. Elle a réuni des acteurs du secteur social et de l'addictologie.

ANAS, Fédération des acteurs de la solidarité, Fédération Addiction

Revoir la conférence

Des chercheurs de l'AP-HP, du CNRS, de l’Inserm, de Sorbonne université, du Collège de France et de l’Institut Pasteur publient un article dans les Comptes Rendus Biologie de l’Académie des sciences qui postule un rôle central du récepteur nicotinique de l’acétylcholine dans la propagation et la physiopathologie de Covid-19.

Lire le communiqué de presse
Lire l'article en ligne A nicotinic hypothesis for Covid-19 with preventive and therapeutic implications, Jean-pierre Changeux, Zahir Amoura, Felix Rey, Makoto Miyara, Comptes rendus Biologie de l'Académie des Sciences

La SPLF et la SFT, proposent dans ce document une information sur la cigarette électronique à l’occasion du Mois  sans  tabac qui se déroule en France. Cette information est basée sur l’analyse des données scientifiques publiées.

Société Francophone de Tabacologie, SFT, Société  de  Pneumologie  de  Langue  Française  (SPLF), novembre 2019

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Ce guide s’adresse aux professionnel-le-s du domaine de l’asile (assistant-e-s sociaux, infirmiers-ères, agent-e-s de sécurité, bénévoles, intendant-e-s, enseignant-e-s, etc.). Il propose des informations générales sur la consommation de substances psychoactives et l’addiction, ainsi que des outils pour identifier les situations problématiques et réagir de manière adéquate.

Addiction Suisse, 2019, 23 p.

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Protégez votre santé!
Une brochure multilingue destinée aux personnes requérantes d’asile et plus largement aux personnes migrantes
Cette brochure donne des informations générales sur la consommation à risque et la dépendance. Les thématiques suivantes sont abordées : alcool, tabac, cannabis, médicaments, jeux d'argent, drogues illégales. Les messages s'adressent aux personnes de langue étrangère, plus particulièrement aux personnes requérantes d’asile.
La brochure est disponible dans les langues suivantes : allemand - italien - anglais - arabe - dari/farsi - kurde - somali - tamoul - tigrinya

Addiction Suisse, 2019, 16 p.

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Le protoxyde d’azote est un gaz employé dans le domaine médical pour son action analgésiante. Également utilisé et commercialisé comme gaz propulseur dans les cartouches pour siphons à chantilly, il est accessible à tous librement sur internet et dans le commerce. L’inhalation du protoxyde d’azote, aussi appelé « gaz hilarant » en raison de son effet euphorisant, n’est pas sans risque, des atteintes neurologiques sévères pouvant en résulter.

Anses, 9 juillet 2020 Lire l'article en ligne

Voir aussi

Protoxyde d’azote. Étude des cas rapportés aux Centres antipoison entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019. Rapport d'étude
Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), juin 2020, 40 p.
Le protoxyde d’azote, communément appelé « gaz hilarant » ou « proto », de formule N2O, est utilisé dans le champ médical, en mélange équimolaire avec de l’oxygène, pour son action analgésiante.Il est aussi utilisé comme gaz propulseur d’aérosols ou dans des cartouches pour crème chantilly. L’inhalation à des fins récréatives du protoxyde d’azote contenu dans ces cartouches s’est rapidement répandue, en particulier chez les jeunes, du fait de son effet euphorisant. Cette étude de toxicovigilance a ainsi analysé les cas enregistrés par les CAP (centres anti poisons) entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019, exposés à l’un des 49 agents référencés dans la base nationale de produits et compositions (BNPC) des CAP (médicaments, cartouches pour siphon à chantilly ou tout autre conditionnement contenant du protoxyde d'azote).
Téléchargez le rapport

Synthèse du rapport d’expertise - Bilan d'addictovigilance protoxyde d’azote - Données 2018-2019
Réseau français d'Addictovigilance, juin 2020, 23 p.
Téléchargez le rapport


Protoxyde d’azote: un gaz hilarant aux séquelles neurologiques loin d’être drôles

 

Les cannabinoïdes de synthèse (CS) sont des substances utilisées à des fins récréatives et ayant des effets psychoactifs similaires au delta 9-tétrahydrocannabinol, principale substance active du cannabis. Leur consommation expose à des risques graves sur le plan physique et psychique avec un potentiel d’abus et de dépendance. Du fait de ces risques, 12 familles chimiques ainsi que 10 nouvelles substances ont été inscrites sur la liste des stupéfiants.

ANSM - 06/04/2017

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Le kratom et ses composés sont désormais inscrits sur la liste des psychotropes, compte tenu des risques graves pour la santé liés à la consommation de cette plante. En conséquence, leur détention et leur achat sont maintenant interdits. Cette mesure fait suite aux résultats d’une enquête confiée par l’ANSM au réseau national d’addictovigilance (CEIP-A) sur la période 2007-2018. Elle a rapporté vingt cas de consommations de kratom avec une augmentation du nombre d’intoxications ces dernières années (14 cas depuis 2016), à l’origine de dépendance, de syndrome de sevrage, d’anorexie, de perte de poids, d’une décompensation psychotique et d’une hépatite toxique. Un décès a également été signalé dans un contexte de polyconsommation de drogues et médicaments.

ANSM, 7 janvier 2020

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