L’Alliance contre le tabac, association loi 1901, a été créée en 1991 pour accompagner la bonne application de la Loi Evin et les mesures de prévention du tabagisme.

Elle rassemble vingt-cinq associations-membres, nationales, régionales ou locales, réparties sur le territoire métropolitain.

* Avis 2018 Cannabis et tabac Alliance contre le tabac, 2018, 1 p.

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* Avis 2017 sur le tabac chauffé & produits apparentés Alliance contre le tabac, 2017, 5 p.

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* Avis 2017 sur les dispositifs électroniques de vapotage (cigarettes électroniques) Alliance contre le tabac, 2017 , 2 p.

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"Le groupe d’experts propose tout d’abord que les pouvoirs publics informent la population sur les risques sanitaires associés à la consommation d’alcool et recommandent aux consommateurs d’alcool de ne pas consommer plus de 10 verres standards par semaine et pas plus de 2 par jour pour les hommes et les femmes. (...) Ils considèrent que la présence d’un risque sanitaire, même pour des consommations faibles et modérées, implique que l’avertissement sanitaire actuel (« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé ») soit remplacé par un message signifiant que toute consommation d’alcool est à risque pour la santé. En termes d’information du consommateur, il est pour eux important que cet avertissement soit également présent sur les unités de conditionnement des boissons alcoolisées, de même que le pictogramme femme enceintes, le nombre de verres standard à 10 g et le nombre de calories par verre standard.

Santé publique France, Institut national du cancer, 2017, 153 p.

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"Le Haut Conseil de la santé publique a été saisi par Direction générale de la santé (DGS) et la Direction générale de l’offre de soins(DGOS) sur la place de la prévention auprès des offreurs de soins .

Le HCSP propose des pistes d’évolution pour structurer les pratiques préventives, améliorer leur qualité et leur pertinence, en articulation avec le secteur non soignant.

Le HCSP a centré sa réponse sur les offreurs de soins en exercice regroupé (établissements de santé, centres, maisons et pôles de santé), et souligne l’importance que les offreurs de soins s’engagent à la fois par : le développement des pratiques cliniques préventives ou soins de santé préventifs, et une responsabilité populationnelle renforcée et partagée avec les autres opérateurs du territoire.

Il propose par ailleurs de structurer, en région, l’organisation territoriale des missions de prévention et promotion de la santé des offreurs de soins, de doter les offreurs de soins de référentiels nationaux de pratiques en prévention et promotion de la santé, et de mettre en place à moyen terme, au sein des territoires, des pôles d’animation et de coordination territoriaux en santé (PACTeS). Le HCSP recommande notamment l’intégration aux soins de 8 missions portant sur les pratiques cliniques préventives, la responsabilité populationnelle et l’expertise."

HCSP, septembre 2018

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  • Le rapport complet  : La place des offreurs de soin dans la prévention. Rapport du Haut conseil de la santé publique, HCSP, juillet 2018, 84 p.
  • L'avis
  • Le communiqué de presse
  • Les annexes (auditions, analyse de la base de données OSCARS qui recense les actions de prévention et promotion de la santé portées par les établissements en France, actions hors les murs menées en Aquitaine....)

Le CNS a procédé à une analyse portant sur les besoins et pratiques  des  jeunes  et  les  attentes  des  professionnels,  sur  les  actions  menées  auprès  des  jeunes  et  les  formations  réalisées  auprès  des  professionnels,  sur  la  mobilisation  institutionnelle  et  la  cohérence  des  actions publiques, et sur une évaluation de la stratégie et des actions menées en Angleterre. Sur la base des constats en résultant, le CNS propose une série de recommandations pour optimiser la lutte contre les IST chez  les  jeunes,  en  l’adaptant  à  leur  diversité  et  aux  évolutions  de  leurs  modes  de  vie  et  de  leurs  comportements sexuels.

CNS, Conseil national du sida, 2017

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This is an updated version of the original Cochrane Review published in 2015, Issue 4.
Objectives : To assess the efficacy and safety of baclofen for people with severe alcohol withdrawal syndrome. We included all randomised controlled clinical trials (RCTs) evaluating baclofen versus placebo or any other treatment for people with AWS. We excluded uncontrolled, non-randomised, or quasi-randomised trials.
Key results : We are uncertain whether baclofen improves withdrawal symptoms and signs and reduces side effects when compared with placebo or other medicines as the quality of the evidence was very low.
NB : les données des essais cliniques français Alpadir et Bacloville ne sont pas intégrées dans cette revue de la littérature. Les chercheurs ont retenu 3 essais cliniques randomisés menées auprès de 141 patients.

Jia Liu, Lu-Ning Wang, Cochrane Database of Systematic Reviews 2017, Issue 8

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L'irruption du baclofène dans le traitement de la dépendance alcoolique a suscité en France une des plus fortes controverses scientifiques de ces dernières années. Elle a déchainé les passions et divisés les médecins, et en particulier les addictologues, depuis la parution en 2008 du livre grand public du Docteur Olivier Ameisen[1], Le Dernier Verre (Denoël, 2008). Le Dr Ameisen y relate comment il a guéri, seul, de sa dépendance alcoolique grâce au baclofène, un médicament ancien et prescrit pour d'autres usages qu'il a pris à hautes doses. Dès lors, la communauté scientifique et les malades alcooliques en panne de remède vont s'emparer du sujet, et des positions tranchées vont s'exprimer, sous l'œil intéressé des médias, des malades et de leur entourage, avant que des études scientifiques ne rétablissent un semblant de sérénité.

Nicolas Simon, Alain Rigaud, Bernard Basset, Myriam Savy, ANPAA, Décryptages N°34, 2018

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Avis favorable au remboursement pour réduire la consommation d’alcool, après échec des autres traitements médicamenteux disponibles, chez les patients adultes ayant une dépendance à l’alcool et une consommation d’alcool à risque élevé (> 60 g/jour pour les hommes ou > 40 g/jour pour les femmes). Cet avis est conditionné à la collecte de données d’efficacité et de tolérance dans un délai maximal de 3 ans en vue d’une réévaluation.

HAS, commission de la transparence, première évaluation, 20 novembre 2019

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A la suite de la décision de suspension des autorisations de mise sur le marché (AMM) des spécialités Baclocur (10, 20 et 40 mg) prise par le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise le 17 juin 2020, nous avons saisi le Conseil d’Etat d’un pourvoi en cassation. Le Conseil d’Etat  a annulé cette décision de suspension le 25 novembre 2020.
En conséquence, ce médicament peut être commercialisé conformément à son autorisation de mise sur le marché, octroyée par l’ANSM en octobre 2018.

ANSM, 26 novembre 2020

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Dans le cadre de l’instruction de la demande d’AMM pour baclofène, l’ANSM publie aujourd’hui l’avis du Comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) chargé de l’évaluation du rapport bénéfice/risque du baclofène dans le traitement de l’alcoolo-dépendance.

ANSM, 24 avril 2018

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