Les fumeurs de cigarettes courent un risque beaucoup plus grand que les non-fumeurs d’être atteints de complications postopératoires, dont de troubles de la fonction cardiaque ou pulmonaire, d’infections et de retards ou de troubles de la cicatrisation.
Mais de nouvelles données montrent qu’en cas d’arrêt du tabac quatre semaines ou plus avant un acte chirurgical, les risques de complications sont plus faibles et les résultats à six mois sont meilleurs. L’arrêt du tabac diminue également les risques de complications pendant l’anesthésie.

OMS, 20 janvier 2020

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Téléchargez le rapport en anglais :
WHO tobacco knowledge summaries: tobacco and postsurgical outcomes, Yoong SL, Tursan d’Espaignet E, Wiggers J et al., WHO, 20 janvier 2020, 25 p.

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